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"La Blanche" Disque d'or mérité ! Coup de coeur !

La BlancheEnergie, humour caustique, intelligence... "La Blanche" serait elle trop bien pour l'industrie du disque conventionnelle ? Pour nous, c'est tant mieux, ils sont sur i-cone, pour eux on fera ce que l'on peut. La France se reconnaitra sans problème dans ce titre à écouter de suite >> "Alcolique" - + d'infos dans la suite


la pochette ci-dessus est de Jan Saudek. Le visuel est temporaire (il ne s'agit là que d'une démo 4 titres)

La Blanche

« Disque d’Or »

Nouvel Album - Sortie octobre 2006
? la Manufacture de Disques
La Blanche - le groupe

Présentation :

"Nous appellerons émotion une chute brusque de la con-science dans le magique"
Jean-Paul Sartre

Hum, hum.
Après plusieurs années passées à errer dans les marécages de l’industrie du disque et à tenter de battre le record du nombre de refus de la part des maisons de disques*, la Blanche sortira en octobre 2006 son deuxième album.

(*) « pour juger du talent, il faut avoir du goût » (auto-citation)

 

Cet album s’appelle « Disque d’Or ».
« Comme ça, on est sûr d’avoir un disque d’or une fois dans notre vie », précise le groupe…

… et sans compter qu’il suffira d’en vendre 10 pour être disque de diamant.


 Biographie :

2000 - Formé autour d'un quatre pistes d'emprunt, la Blanche enregistre rapidement une première démo ; l'idée de départ est simple : de la musique, des histoires… et de l'émotion. Coup de bol, le premier titre, "Bart à la Pêche aux Coquillages", est immédiatement repéré et diffusé sur France Inter. Encouragé à poursuivre, La Blanche vole des instruments et compose un album.

2001- Entre temps, le groupe accueille Stéphane, batteur, puis Melle Murer, violoncelliste. En pleine bulle Internet, la Blanche communique allègrement sur Internet et se forge une réputation numérique via de décapantes niouzelettres d’informations, la voici promue : « Porte-parole de la Génération Internet » (sic). La bulle crève, les niouzelettres restent, munitions d'une guérilla promotionnelle ironique et fauchée.

2002- la Blanche auto produit son premier album, intitulé Michel Rocard en hommage à l'initiateur du RMI sans lequel la création du disque n'eut pas été possible. Il est mixé par l’excellent Gil Martin à Bruxelles puis distribué par le label Nocturne. Malheureusement, le jour de la sortie, le groupe perd son batteur, Stéphane, tragiquement asphyxié dans le garage qui lui sert de local de répétition. Son passage éclair influencera durablement le son du groupe. La Blanche recrute alors un nouveau batteur qui, coïncidence, s'appelle lui aussi Stéphane.
Le disque est salué par les médias tandis que "Bart à la Pêche aux Coquillages", "la Piscine" ou "Sous Marine" prennent le chemin des ondes (France Inter, Férarock, Nova, Mouv', RTL etc.) Parallèlement, la formation donne des concerts (Francofolies, Chorus des Hauts de Seine, PdB et salles de concert). Avec une centaine de dates à son actif, la Blanche s'affirme peu à peu comme un vrai groupe de scène, intense et incarné, entre la personnalité massive du chanteur, Eric la Blanche, et la troublante présence de Melle Murer, au violoncelle. Cette année-là, après un concert, Colin, guitariste fondateur du groupe décède lors d'une partie de fléchettes qui tourne mal, victime de la folie des hommes : Gil Husson le remplace.

2003- Malgré l'absence de budget, Michel Rocard rencontre un bon succès d'estime mais, avec 5000 ex. vendus, la construction de la piscine en forme de guitare dans laquelle le groupe se voyait déjà barboter doit être reportée... d'autant que fin 2003, Stéphane, second batteur du groupe, se noie lors d'un entraînement nocturne de triathlon. Qu'à cela ne tienne ! la Blanche décide de recruter un troisième batteur et décrète que tous ses batteurs devront désormais se prénommer Stéphane, en hommage aux deux précédents.

2004- Stéphane, troisième du nom, rejoint le groupe. Fin 2004, la Blanche est lauréat du Fair et prépare son deuxième album lorsque Bart, bassiste historique du groupe, disparaît à son tour, dans une crevasse lors d'une randonnée alpestre. Fou de douleur (mais conscient du fait que le destin vient de lui faire économiser un salaire), le groupe décide qu'il ne sera jamais remplacé. C’est pour cela que, depuis lors, il y a trois bassistes volants dans la Blanche.

2005- L'album est néanmoins enregistré durant l'hiver dans les anciens studio Vogue sous la houlette du réalisateur Laurent Guéneau. Il ne peut malheureusement achever le mixage, terrassé par une invraisemblable intoxication alimentaire.
C’est à ce moment que le groupe rencontre le label indépendant « la Manufacture de Disques ». C’est aussi à ce moment-là qu’Universal choisit de s’intéresser à la Blanche. Le groupe hésite, tergiverse, mais décide de suivre sa pente naturelle et signe pour l’indépendance.

2006- Il ne reste plus alors qu’à finir les mixes, que Gil Martin, sorcier du premier album, prend en charge (au péril de sa vie). La sortie du disque est prévue en octobre 2006. Sauf accident, bien sûr…

Epilogue : « Disque d’Or » aura mis plus de deux ans à naître. Il est à l’image de sa gestation :  mouvementé, multicolore, insoumis, désabusé, plein de cynisme et de grosses guitares (pour faire genre), de tendresse et de violoncelle (pour plaire aux filles). Il parle du beau sexe (« la Mienne »), de tabassage médiatique (« la Mort à Johnny »), d’un vélo légendaire (« Adélaïde »), d’un Faust gigolo (la Croisée), d’un Candide extra-terrestre (« le Martien à Grosse Tête »), des méandres de la conscience (« la Maison Close ») bref, de la vie (« Alcoolique »), de la mort (« Allongé dans un Pré en Automne ») et, plus largement, de la comédie humaine.

*

En même temps, il ne faut pas croire tout ce que racontent les artistes dans leur biographie.

Eric la Blanche
Chanteur survivant, auteur, compositeur, arrangeur, emmerdeur (Lyon)
 Après un parcours mouvementé, en vrac : vendeur, rédacteur de documentaires, journaliste, gagman (notamment « un gars, une fille »), voyageur, mannequin, fondateur de start-up, chômeur puis RMIste, Eric décide, à 30 ans, que « ça commence à bien faire » (sic). Il plaque tout et revient à ses premières amours : les lettres et la musique.
Ce parcours atypique a été influencé par les longs mois passés à l’hôpital, en tête à tête avec la maladie, à 21 ans. Restent cette distance ironique qui imprègne les textes et une farouche volonté de vivre en accord avec soi-même.
Et d'être liiiiibre.
 
Mademoiselle Murer
Violoncelliste diaphane - bassiste (Strasbourg)
Concertiste issue du classique et du contemporain, Raphaèle est à la scène un personnage troublant, à la fois angélique et sulfureux. Curieuse de nouvelles expériences, elle décide de se lancer dans la chanson après un concert des Têtes Raides et, depuis, joue dans plusieurs formations tout en collaborant avec des comédiens et des danseurs. Elle pratique aussi les arts martiaux et enseigne la musique aux petits enfants.

Christophe B.
Guitariste atmosphérique - bassiste (Lyon)
Footballeur émérite, Christophe abandonne la compétition à 16 ans, suite à une faute commise sur sa cheville droite par un jeune inconnu dénommé Thierry Henry. Promis ensuite à un avenir de voyageur, Christophe se sédentarise pourtant à Paris avant de triturer une guitare électrique. Il s'amuse depuis à semer des ambiances atmosphériques, distribuer des riffs teigneux et voyager entre guitares électrique, acoustique et basse. Christophe compose aussi des musiques de films sous le pseudonyme de Kitso.

Monsieur Cargnino
Batteur - sampleurs (Avignon)
Musicien éclectique, Stéphane pratique aussi bien l'humilité de la chanson que l'effervescence du raï ou la densité et les sonorités du rock. Il est intervenu auprès de différents artistes aux baguettes ou au sampleur. Afin de conserver à la Blanche la forte crédibilité rock qui est la sienne, il meurt souvent.

Gil Husson
Guitariste électro-cabalistique - bassiste (région parisienne)
Gil abandonne vite une carrière dans l'enseignement pour peaufiner les musiques improvisées, le jazz, le funk, le rock. Egalement régisseur sons & lumières de théâtre, veilleur de nuit, joli-cœur, ambianceur en hôtel quatre étoiles et prof de guitare.

La Newslettre
Objet numérique envoyé par e-mail à de malheureux innocents plus ou moins triés sur le volet et qui, sous prétexte de faire la promo du groupe, disserte sur, en vrac, « la taupe comme animal totem chez les Sioux », « le bracelet de force du chanteur de Kyo », « une pétition pour soutenir financièrement les actionnaires des majors pendant la crise de l’industrie du disque » ou « ces coquetiers horizontaux qu’on fait sauter entre des sortes de petites cannes à pêche attachées entre elles par un fil ».
Il est, en outre : « impossible de s’en désabonner, pour différentes raisons et contrairement à la loi »

Bref, la niouzelettre de la Blanche est un splog? (spam et blog) branleur et irrévérencieux, qui reçoit à la fois les louanges de ses victimes et les honneurs de la presse… la seule correspondance électronique à « rudoyer son groupe ethnique » (déchirer sa race ndlr).

http://www.lablanche.org/newsletter_archives.php
 Musiciens additionnels :
Julien Soleilhac (Boîtes à rythmes et synthés) et Nicolas Begel  (guitares) – compos  « Alcoolique », « la Mort à Johnny », « Adélaïde ».
Mathias Imbert (Bassiste / contrebassiste du groupe « de rien » et membre unique de « Imbert Imbert ») : contrebasse sur « la Croisée », « les Animaux », basse sur « le Bocal ».
Olivier Legoupil (violoniste du groupe "de rien") : violons additionnels sur « Tout est Parfait » et « le Martien à Grosse Tête »

 


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